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 Nuée de Plumes •

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Nuée de Plumes

Nuée de Plumes
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Date d'inscription : 09/08/2013
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MessageSujet: Nuée de Plumes •    Nuée de Plumes •  Icon_minitimeVen 9 Aoû - 7:38


Nuée de Plumes
13 Lunes ∞ ♀ ∞ Clan ∞ Guerrière ∞ Live Happy :3 ∞ Aucun ∞ Clanique
« citation - parole de musique »


✖ My Story ✖
Histoire - 20 lignes minimum (vérifiées sur Word en 12px avec la police Helvetica.)
TRIBULATIONS D’UN CHATON MORT BÊTEMENT.
On était trois, et il neigeait. Oui ce jour-là il avait beaucoup neigé, il avait fait si froid. Aucun chaton n’aurait dû naitre durant la saison froide. Et pourtant nous étions trois. Un à un on a quitté la chaleur humide pour le froid. Nous n’étions rien, ou tout au plus pas grand-chose. Juste un amas d’asticot trempé et rose, et les blizzards faisait cristalliser nos pelages. Dieu sait par quel miracle on a pu vivre durant cette lune de glace. Des félins de tout rang se relayaient chaque nuit pour dormir autour de nous, autour de notre mère, pour maintenir notre chaleur à un stade normal. C’est à cette période drastique où les chatons ne peuvent strictement rien faire d’eux même, ni manger ni contrôler leur chaleur corporelle. Il faut dire que sous un pelage fin comme un voile, comment se tenir chaud à soi-même ? Il finira bien par pousser disait-on, mais il ne poussait que trop lentement, et trop peu pour nous protéger. Alors l’a fait à sa place, on nous a prêté des pelages, de la chaleur, de la tendresse aussi, beaucoup. Notre mère était une chatte jeune, impatiente. Elle nous a aimés de tout son cœur, quand ce même cœur hurlait son envie de reprendre sa vie de guerrière. Je sais qu’elle était inconsciente. Elle n’avait pas l’expérience de la maternité, et nous n’étions en quelque sorte, que son coup d’essai, sa première portée. Alors elle a fait des erreurs, beaucoup d’erreur. La première, nous faire naitre trop tôt, beaucoup trop tôt, faible et prématuré dans un monde glacé. Le destin s’est voulu clément, on a vécu, tous. Et comme pour contredire le destin, quand le printemps et revenu, alors qu’on observait la vie de nos grands yeux qui perdait de leur innocence bleue chaque jour un peu plus, notre mère céda à un de ses désirs. Elle nous guida dans la lande. 


SI ON CHERCHAIT UN COUPABLE, CE NE SERAIT PAS MOI.
Parce qu’on était jeune, parce qu’on était sacrément cons aussi, parce qu’on était naïfs, parce qu’on était fougueux comme on peut l’être à notre âge. Bref, on l’a suivi, parce qu’elle était notre mère quand même. Elle l’est toujours, mais différemment. Enfin ça se joue dans ma tête tout ça. C’était notre mère, point. La plaine était belle comme jamais, dans un florilège de vert tendre, piqué çà et là de bourgeons, de boutons de fleurs colorées. Le givre s’en était allé, abandonnant les plantes à leur dieu soleil qui les faisait pétiller. Sous le vent, les arbres tordus semblaient s’agiter, tendre le branche vers nous, comme pour saluer. Ils m’ont appris la révérence. Maman nous laissait jouer un peu partout, elle restait dans le périmètre sans pour autant nous surveiller, alors évidemment, on a fait des zouaves, on s’est battus, on a joué, on s’est éloigné un peu, et on a joué à glisser sur le versant d’un talus. Il avait commencé à pleuvoir, de longues traines d’eau qui mouillaient nos fourrures, et on ne glissait que mieux dans la belle boue grise qui maculait nos duvets. On ne s’en inquiétait pas, de toute façon maman ne nous gronderait pas, elle ferait notre toilette, comme elle le fait toujours, sans rien dire, sans commenter, sans gronder. Alors on faisait des bêtises en toute impunité. La boue avait un sale goût. Elle a envahi ma bouche quand j’ai roulé le long de la petite côte, pour atterrir dans les pattes de mon frère. Il a piaillé fort je me souviens, très fort, et il s’est mis à sautiller sur ses trois pattes toutes sales. Je me suis excusé longtemps, il s’est finalement affalé dans la glaise en se léchant, il m’a dit que c’était pas grave, que sa griffe était juste tordue, et j’ai continué à jouer avec lui, sans remarquer que notre autre frère n’était plus là. Maman non plus n’était pas là. Mais le troisième est revenu, il hurlait très fort, un cri de terreur qui lui arrachait la gorge tandis qu’il cavalait vers nous, les yeux rond, si écarquillé qu’on voyait le pourtour blanc. Il n’a pas arrêté de hurlé, et nous a rejoint en bégayant. Mais on ne l’écoutait déjà plus, on avait les yeux rivés sur ce qui arrivait sur nous. Un animal deux fois plus gros qu’un chat, roux sombre, le ventre et le bout de la queue blanche comme neige, le nez long et fin. Il avançait étonnement vite, vu ses pattes très courtes. Ses yeux brillaient d’une folie dénuée de conscience, une sorte de fureur avide clouée sur nous. Et mon frère ne pouvait pas courir. 



La panique nous avait saisi en plein vol, on a bien essayé d’appeler notre mère, mais va savoir où elle se trouvait, elle n’est pas venue. Alors on a poussé notre frère blessé, on avait vu un petit trou dans le talus, on s’est dit qu’on pourrait le cacher là, ça puait tellement que le renard ne l’aurait jamais trouvé là. On l’a laissé se glisser à l’intérieur en lui promettant bien de revenir avec du secours, il nous a acquiescé, et la foi qui brillait dans son regard jaune nous a ragaillardie, il était bien en sécurité, restait à éloigner la bête. Alors on s’est élancé, le plus vite possible dans l’herbe rase, ignorant la douleur des ronces qui nous arrachait le pelage. On passait dans les passages étroits, sous les ajoncs, pour le semer, s’éloigner de sa mâchoire qui par moment claquait dans notre dos. Son souffle chaud caressait nos pattes arrière, mais on a couru encore et encore. Jusqu’à ce mon frère trébuche et s’écrase dans la boue. J’ai dérapé dans la glaise pour voir le renard plonger sur lui. Il m’a lancé un regard horrifié, et je lui ai rendu. On savait tout deux qu’on ne pourrait rien faire pour l’aider. Le canidé s’est saisi de mon compagnon par la queue et s’est mis à le secouer dans tous les sens. Il poussait des cris de douleur saccadé, je ne respirais plus, tout simplement.






ON N’EN A RETROUVÉ QU’UN BOUT DE RIEN.
C’est ce moment-là qu’a choisi ma mère pour reparaitre. Elle m’a sauté par-dessus, et j’ai vu l’éclat de ses griffes sous un rayon de soleil. J’ai continué à retenir mon souffle pourtant, jusqu’à ce que mes poumons me brûle et que je ne tienne plus. Elle a frappé directement à la gorge, et le renard, qui avait la mâchoire prise n’a pas pu l’en empêcher, elle a serré les dents jusqu’à transpercé sa jugulaire, puis a lâché quand son petit est retombé sur le sol. Le renard la fixait avec des yeux de démon, les oreilles couchées sur son crâne. Elle est restée immobile, le regard fixe, tendue comme un morceau de bois, jusqu’à ce que la bête ne s’écoule, clapissant et roulant dans son propre sang qui s’étalait dans la boue toute grise. Les liquides ce sont mêlés et ont coulé très loin. L’eau pourpre giclait avec une telle force hors du corps de l’animal, dans un gargouillis parfaitement ignoble. Je pensais qu’il allait se relever, il avait les yeux ouverts. Ouverts mais vitreux, et j’ai compris quand j’ai vu le ciel s’y refléter qu’il était bien mort. J’ai frémi, ma mère a passé sa langue sur mon front, mon frère à titubé vers moi, le regard immense. On s’est pressé l’un contre l’autre, tremblant de soulagement. On y avait cru cette fois, on y avait tellement cru. 





Vous avez fait quoi ?

Quand on a expliqué à Maman où était notre frère, ça ne lui a pas plu du tout. On était si content, nous, de le savoir en sécurité. Pas elle. On n’a pas réagi sur le coup. On pensait avoir bien fait. Mais aussi peu raisonnable fut-elle, elle avait encore la tête sur les épaules, et elle est repartie à toute allure. Cette fois on ne l’a pas lâché, même si nos pattes nous faisaient souffrir après notre fuite, mais si elles étaient si petites qu’elle nous distançait sans mal. On ne voulait simplement pas perdre le bout de sa queue de vue. Elle a retrouvé le talus sans aucun mal, et je me suis émerveillé d’une telle dextérité. Quand on l’a enfin rattrapé, elle était immobile, tapie derrière le tas de gadoue. Elle avait une touffe de poil roux sur la mâchoire, et des traces désordonnée de pas avait marqué le sol et se remplissait d’eau sale. La pluie avait trempé tout autour de nous, elle avait repris de plus belle pendant notre course. Elle faisait un bruit très sourd sur les bruyères. Le poil de ma mère était hérissé sur son échine. Une patte orange tentait de lui fouetter le museau. Au loin des glapissements résonnait dans la lande. Presque aussitôt une forme fauve jaillit et s’élança dans les taillis. Un renardeau. Il partait rejoindre le reste de sa portée orpheline, déjà en fuite. En passant le fourré, il lâcha quelque chose qui tomba sans bruit et s’accrocha aux épines. Maman murmurait un appel à son fils. Je la laissais s’introduire dans le trou chercher mon frère et me faufilait vers l’objet tombé de la gueule du petit. C’était assez long et plutôt fin, couvert d’une fourrure rase et sale, arrachée par endroit. Le bout n’était qu’un moignon sanglant de chair et d’os broyé. Et quand enfin j’ai réalisé de quoi il s’agissait, quand enfin j’ai compris, j’ai vomi, vomi tout ce que je pouvais tandis que derrière moi, ma mère hurlait à la mort, à ses pieds un lambeau de fourrure attaché à un morceau de chair déchiqueté. Mon deuxième frère se pressa contre moi, tandis que son regard passait de la queue au lambeau, soit tout ce qu’il restait du frère qu’on avait voulu mettre à l’abri. On a pleuré longtemps tous les deux, pendant que notre mère enterrait ce qu’il restait de sa dépouille. Le reste avait été englouti par les renardeaux. Elle est rentrée sans nous adresser un regard. On l’a suivi jusqu’au camp, mais là elle n’est pas rentré dans la pouponnière, elle est allé directement dans la tanière des guerriers. On a compris, on est retourné dans sa litière vide, le pelage crotté et détrempé, le cœur lourd, déchiré, la honte brûlante dans nos larmes. Toute la nuit on s’est répété l’un à l’autre la même phrase. Ce n’était pas ta faute, c’était mon idée. Et comme aucun de nous deux ne parvenait à un accord, pour savoir qui était responsable, on a décidé de convenir que c’était de sa faute à elle, qu’elle n’avait qu’à pas nous laisser tout seuls. C’était la faute à pas de chance, la faute au destin, au fichu destin qui tue des chatons dans l’horreur. La faute à notre connerie, la faute à la pluie, la faute à qui ? On en a trouvé des coupables, beaucoup. Finalement on en a déduit que c’était la faute à beaucoup de chose, et qu’il valait mieux pardonner, partager la souffrance. Maman n’était pas de cet avis. Je ne sais si elle fait ça pour se pardonner elle-même, pour être en paix avec son esprit. Elle nous en a voulu, toujours. Dès lors on était plus ses enfants, juste les assassins de son fils. Visiblement elle n’a même pas réussi à s’en persuader, elle est partie après cela, on a dit l’avoir retrouvé sur la tombe de son chaton, mais personne n’a jamais ramené le corps au camp.






L’INNOCENCE MÊME (L’INNOCENCE M’AIME).
[size=11]Chaton on oublie vite la saveur de la douleur. A deux lunes et demi, on vit au jour le jour, le lendemain on se rappelle un peu, la lune suivante on oublie. Ça s’est passé comme ça, on a tourné la page, on est resté rien que nous deux, mon frère et moi, on s’est figé dans un cocon de bonheur tout neuf, qu’on a créé à coup de jeu, de rire. On s’est beaucoup aimé, on s’est aimé pour une mère, pour un frère, pour combler tout ça. On n’a pas voulu être morne, par respect pour le chaton mort bêtement, on a voulu être heureux pour lui aussi. On a voulu vivre comme on aurait vécu à trois, sans rien regretter, parce que la nuit un bébé sans queue vient nous voir en souriant, on sait qu’il ne nous reproche rien. On s’est préservé de tout ce qui blesse, on a héraldique les mauvais sentiments de notre cœur. On a été durs, forts sans aucun doute. On a grandi comme ça, on est devenu apprentis. On est devenu guerrier. Comme tout le monde, comme le destin le veut. On s’est décidé à demeurer des innocents, dans cette même pureté implacable qui un jour de pluie nous a poussés à cacher notre plus jeune frère dans une renardière pour le sauver de la renarde. C’est étrange comme état d’esprit mais ça nous a toujours convenu, c’est une manière de rendre hommage à ce défunt compagnon qui a partagé avec nous les premiers instants de notre vie. On n’a pas changé pour ça, on est resté les mêmes, on veut juste rester les mêmes. Pour toi.
[/font][/color]
✖ Mirror, mirror ... ✖
Description physique - 10 lignes minimum (vérifiées sur Word en 12px avec la police Helvetica.) 
L’INNOCENCE M’AIME.
Nuée de Plume est un poids plume –c’est le cas de le dire. Comme la plupart des félins de son clan, c’est une chatte relativement petite aux pattes longues et robustes. Elle ne possède pas une grande musculature et demeure d’ailleurs plutôt chétive. Des épaules fines, des hanches puissantes aux muscles saillants, taillée pour la course. Une queue longue assez touffue. Elle a le dos bien droit et assez de chair pour qu’on ne voie pas ses côtes sous sa peau. Dans l’ensemble elle est plutôt jolie, fine et élancée, le port de tête élégances, la démarche ample et bondissante. Son corps est plutôt allongé, sa tête triangulaire et délicate, fournie de fourrure épaisse qui l’arrondie légèrement. Des pattes donc fortes et affutés, plutôt ronde et douce. Elle met un point d’honneur à toujours marcher très discrètement. Pour compenser ses crocs peu redoutable, elle possède de longues griffes translucides qui, allié à la force de ses membres lui permettent de faire mal. Très mal. Elle ressemble physiquement à sa mère à vrai dire. Le même genre de chatte au physique d’aspect fragile. 


✖ Me, Myself & I ✖
Description mentale - 10 lignes minimum (vérifiées sur Word en 12px avec la police Helvetica.) 
[size=14]L’INNOCENCE MÊME.
Elle a une sensibilité révoltante dans le regard, une fraicheur délicate, un sourire discret toujours fiché sur ses babines très roses. Nuée de Plume ne sait pas être méchante, tout simplement. Même énervée, elle se contente de bouder dans le pire des cas, elle préfère ça que d’en venir aux griffes. C’est dans son caractère d’être conciliante avec le monde, elle préfère apaiser les conflits plutôt qu’y prendre part. Il faut dire qu’elle a un sang-froid remarquable. Cependant sa gentillesse exacerbée la pousse parfois à se trouver impuissante. Dans son refus de se battre, de céder à la violence, on la blesse facilement, surtout avec des mots. Et ça reste, ça reste longtemps imprimé en elle, ça ne la quitte pas, ça crée un malaise, une boule dans sa gorge. Elle n’aime pas être en froid. Même si elle déteste quelqu’un, si elle lui fait du mal elle s’arrangera toujours pour s’excuser. Dans le fond elle est légèrement hypocrite, elle préfère faire croire qu’elle aime quelqu’un plutôt que d’avoir à montrer son dégoût. Dans le fond cela fait d’elle une chatte appréciée. 
Elle est pourtant discrète, très discrète oui. Elle fuit les responsabilités, fait ce qu’on lui dit sans répliquer. En réalité elle a un fond timide qu’elle s’attache à refouler. Nuée de Plume aime les gens, elle n’aime pas être seule, mais elle a peur de s’imposer, de déranger de gêner. Elle préfère rester à sa place. Elle n’envisage pas d’être chef, ni même importante, elle préfère mener sa petite vie simple dans une échelle raisonnable. En clair elle n’a pas ou peu d’ambitions. 
Somme toutes, c’est une chatte heureuse de vivre et bien dans sa vie. Elle se montre très calme, toujours très posé avec sa voix reposante. Sans doute sera-t-elle reine un jour, elle le sait bien, elle est typiquement le genre de chatte à fréquenter la pouponnière, d’ailleurs elle se demande si elle n’y serait pas mieux, elle aime être guerrière, mais le flegme et la discrétion des mères l’attirent. Elle est extrêmement affectueuse et aimante, d’une fidélité sans faille. Elle fait peu de promesses de peur de ne pas pouvoir les tenir. C’est un vestige de son enfance. La seule promesse qu’elle a faite, celle de revenir chercher son frère sain et sauf, elle n’a pas su la tenir. Depuis elle se garde de jurer. Elle fait les choses et dit ensuite qu’elle les a réalisés, plutôt que d’anticiper sans être sûre. Elle préfère le concret. 
C’est vraiment une femelle futée, elle sait où elle va, elle est propre sur elle et bien élevée. Jamais elle ne va de travers, c’est une question d’honneur. Pourtant elle le prend avec sa dérision habituelle de chatte joyeuse et dynamique. Sans trop de complexe, elle s’aime. Oui elle s’aime dans son caractère. Et le physique elle s’en fiche, parce que ce n’est pas à elle de juger mais aux autres. Alors oui elle est très dérisoire. Et l’innocence l’aime. 



✖ Behind the screen ✖
âge • 16 ans
surnom • Bambi
sexe • ♀
comment as tu connu le forum ? • Via le Top Site. 
ton avis ? • Le codage est agréable, les couleurs douces mais on arrive pas toujours à lire correctement le vert d'eau sur le gris. Concernant le design, il est pas si mal, mais mon dieu tellement monochrome. Plus aucune teinte sur ce propre minou, on dirait qu'il est tout délavé ! D8
autre chose ? • ///
code du règlement • Validé par Fram' Nuée de Plumes •  717956415 

image by consolation-prizes # code by shiya.

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Etoile de Corail

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MessageSujet: Re: Nuée de Plumes •    Nuée de Plumes •  Icon_minitimeVen 9 Aoû - 14:00

Bienvenue :3

Merci des compliments o/ Effectivement, c'mon plus gros défaut, mes créas sont toutes monochromes T_T
Je valide le code et je te mets ta couleur :3 
Normalement le forum ne devrait pas être ouvert donc les lieux de RPs ne sont pas installés, je suis en train de les mettre :3

EDIT : Dans quel clan veux-tu être ?
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Nuée de Plumes

Nuée de Plumes
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MessageSujet: Re: Nuée de Plumes •    Nuée de Plumes •  Icon_minitimeVen 9 Aoû - 21:56

Il me semblait avoir lu dans l'annonce qu'on ne choisissait plus ? ^^
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MessageSujet: Re: Nuée de Plumes •    Nuée de Plumes •  Icon_minitimeSam 10 Aoû - 10:54

Effectivement x.x 
Comme je l'avais dit après que tu aies posté ta présentation, je pensais que tu aurais choisi ton clan mais non, so, je lance le dés :D
Les dés ont parlé, tu feras donc parti du clan des cieux ! Tu possèdes une paire d'ailes assortie à ton pelage, tu peux aller partout : dans les nuages, sur terre, sous l'eau ! Mais sous l'eau, l'accueil risque d'être ... rude. 
Tu peux commencer à RP Nuée de Plumes •  717956415


Dernière édition par Etoile d'Ambre le Sam 10 Aoû - 10:55, édité 1 fois
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Etoile de l'Aube

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MessageSujet: Re: Nuée de Plumes •    Nuée de Plumes •  Icon_minitimeSam 10 Aoû - 10:54

Le membre 'Etoile d'Ambre' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dans quel clan ? °3°' :
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MessageSujet: Re: Nuée de Plumes •    Nuée de Plumes •  Icon_minitime

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